Ce matin (mardi 30 mars), la Cour d’appel de Paris a confirmé et aggravé le jugement rendu par le Tribunal correctionnel de Paris, le 16 janvier 2008, dans le procès dit de l’Erika. La LPO se félicite que les trois postes de préjudices pour lesquels elle avait plaidé en première instance et en appel (moral, matériel et écologique) soient confirmés par la Cour. Elle est fière que son combat précurseur en faveur du préjudice écologique ait abouti et puisse faire jurisprudence. Cette reconnaissance du vivant non-commercial sera un nouvel outil au service des "avocats" de la nature et une contrainte supplémentaire pour les pollueurs potentiels.
Lire le communiqué de presse en ligne sur www.lpo.fr
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